Rémunération et motivation, comment trouver le juste équilibre ?

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Actuellement, la situation conjoncturelle affecte la politique salariale des entreprises. Pour 80,5 % des DRH la tendance est au gel des salaires pour 2013. 46 % d’entre eux pensent même geler les primes et les bonus cette année*.

Dans ce contexte assez négatif, comment faire pour que les rémunérations continuent à fidéliser et motiver vos salariés ?

Une part de fixe pour rassurer : la sécurité financière est essentielle en temps de crise. Une part de fixe trop faible et les collaborateurs perdent toute motivation. En dessous de 50% il est presque impossible de recruter car un minimum de fixe est nécessaire pour pouvoir prétendre à un emprunt ou à un logement.

Une rémunération variable pour motiver : prime de fin d’année, commission sur chiffre d’affaire ou sur marge brute, bonus pour atteinte de résultats… rien de tel pour booster la productivité !

La participation et l’intéressement pour fidéliser : la participation est obligatoire pour les entreprises de plus de 50 salariés. Ce pourcentage du revenu fiscal est pour l’instant exonéré d’impôts et de charges patronales. L’intéressement, conditionné à l’atteinte d’un objectif précis, est facultatif.

Des avantages en nature pour gratifier : cela permet de récompenser un collaborateur sans souffrir du surcoût fiscal qu’occasionne le paiement de primes ou de commissions. Par exemple, une voiture de fonction valorise le collaborateur et peut être une réelle valeur ajoutée par rapport à un poste mieux payé mais sans cet avantage.

Vous avez à présent toutes les clés en main pour maintenir le moral de votre équipe !

(*Source : sondage mené par le cabinet Robert Half)